Extrait de La Fesseuse passionnée

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Extrait de / Excerpt from : La Fesseuse passionnée.


— Tais-toi, enfant, disait Suzanne en commençant à la trousser tranquillement. Je te dis que tu vas être fessée, car c'est une bonne fessée qu'il lui faut à ton derrière tout nu pour te calmer et te faire reprendre tes esprits...

La jeune fille sentant sa jupe relevée et entendant ces paroles... évocatrices, se tordait, ruait, trépignait...

— Viens lui tenir les jambes, me commanda Suzanne.

Je saisis Madeleine par les mollets que j'immobilisai de mon mieux.

— Ah ! vous regimbez ! Ah ! vous vous révoltez, ma petite Madeleine, grondait Suzy... Cela va vous valoir une de ces fessées sonnantes dont vous me direz des nouvelles !...

Et c'est sur ces paroles qu'elle la déculotta. Ce fut délicieusement fait. Avec des gestes lents et calculés, elle fit descendre tout doucement le pantalon le long des jolies fesses et le poussa jusqu'à mi-cuisses. Madeleine portait une chemise qui, de la même façon lente, fut relevée et nous ne pûmes, Suzy et moi, retenir un : « Ah ! » d'admiration devant les adorables fesses nues qui nous apparurent !... Un vrai régal. Elle est brune, Madeleine, de teint très mat, et nous avions sous nos yeux un mignon derrière de teinte ambrée aux fesses idéalement arrondies séparées par une raie plus sombre divinement évasée vers les reins, nerveusement serrée au milieu et tout le bas allait se perdre doucement dans l'ombre de l'entrecuisses.

— Oh ! quelles mignonnes fesses ! Regarde, Denise, disait Suzy. Et si douces au toucher !... Et cette fente !... Vois comme elle est bien serrée....

Et de deux doigts elle l'écartait en y plongeant son regard qui convergeait avec le mien...

— Oh ! continuait-elle, ç'aurait été vraiment dommage si de pareils trésors étaient restés cachés...

— Laissez-moi !... laissez-moi !... pleurait Madeleine...

— Ce n'est pas laissez-moi ! laissez-moi ! qu'il faut dire, ma petite ; c'est : fessez-moi !... fessez-moi !...

Une tentative de ruade de Madeleine lui répondit, tentative vite réprimée par la chute de la première claque.

— Tien ! tiens ! tiens !... petite fille, disait Suzy. Un derrière comme le tien, aussi fin, aussi délicat, ce serait un crime de le laisser enfermé dans son pantalon... Des fesses comme les tiennes, c'est fait pour être déculottées tous les jours, et pour être fessées, fessées, fessées... tiens ! tiens ! tiens !... de cette façon !...

Et elle se mit à la fesser de mieux en mieux. Des fesses de brunes ça rougit lentement, et il en fallut des claques pour les faire dépasser le rose foncé !...

« Lâche-lui les mollets, me dit Suzanne et va me cueillir ces petites branches que tu vois là-bas... ».

J'obéis. Ne se sentant plus les jambes prisonnières, Madeleine se mit aussitôt à gigoter... Mais Suzanne ne fit ni une ni deux. Elle l'enleva de terre comme avait fait le matin la mère du garçonnet, et poursuivit méthodiquement la fessée, une claque sur une fesse, une claque sur l'autre, une claque au milieu, tandis que Madeleine, pleurant et criant, lançait bras et jambes de tous côtés...

Je revins bientôt avec les branches demandées qui constituaient ma foi une verge fort bien conditionnée. Suzanne s'en saisit et le derrière de Madeleine en connut aussitôt les cinglantes caresses...



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