Extrait de Souvenirs d'un artiste

De BiblioCuriosa

Extrait de / Excerpt from : Souvenirs d'un artiste.


Pour le nouveau venu, Raymond lui suçait ardemment la grosse queue qui, bientôt, eut un soubresaut, cherchant à se retirer ; mais c’était ne pas compter avec Raymond, lequel entourant les cuisses et les fesses, et les serrant contre lui, empêcha ainsi toute retraite... et le membre, dans un brusque sursaut, dut lâcher sa semence dans la prison charmante et douce qui le retint ainsi longtemps encore, malgré les efforts presque désespérés faits par le sucé pour s’en aller... si bien que, travaillé de la sorte, l’instrument reprit une nouvelle vigueur et refonctionna pour une nouvelle course...

A leur droite, deux femmes, depuis un moment, serrées l’une contre l’autre, ne quittaient pas des yeux le suceur.

— Ah ! ma cocotte chérie... qu’il est beau ! qu’il est merveilleux ! tu n’avais pas menti...

— N’est-ce pas, ma grande !

— Oh ! regarde, regarde, ma douce mignonne, regarde... regarde... le comte n’en peut plus... regarde... il ferme les yeux...

En effet, Raymond était parvenu, une deuxième fois, à faire décharger le membre qui n’avait pas encore quitté sa bouche, en dépit des efforts de son possesseur, il avait continué de sucer et de téter après l’éjaculation... et maintenant, entre ses lèvres... il sentait le membre s’amollir... s’amollir... absolument vidé...

Ne le retenant plus, le membre ballotta, flasque, un moment, car sa poitrine, son propriétaire se retira lentement, brisé, sur les coussins d’où il était venu quelques instants auparavant et là, lourdement, il se laissa tomber et s’endormi...

Germaine ne se lassait pas d’admirer ; Meg lui murmurait :

— Qu’en dis-tu, et de deux !

— Ah ! ma chérie ! quel mâle ! et comme il est bien femme tout à la fois ! Ah ! ma cocotte adorée !... Il est vrai que le comte et Jean avaient dû déjà s’aimer avant, au moins une fois ! quel art ! ah ! ma cocotte, laisse-moi... je veux l’aimer, je veux jouir à mon tour ! ah ! que ne suis-je un homme, regarde ces fesses merveilleuses, ah ! chérie, laisse-moi... laisse.

Il est de fait que Raymond, ne se croyant pas observé tout à la saveur des admirables outils avec lesquels il venait de faire connaissance, s’était mis sur le ventre, les fesses bien en l’air, les faisant mouvoir... onduler... comme s’il eût senti l’approche d’un autre mâle, d’une autre queue.

N’y tenant plus, folle de désirs, Germaine se détacha des bras de Meg, sauta sur Raymond un peu surpris de l’attaque.

— Ah ! chéri, tiens, tiens, chéri !... Laisse... laisse-moi te le mettre, tiens, tiens, sens... tiens !...

L’enlaçant de toute ses forces, Germaine faisait le simulacre de le baiser.

— Tiens... tiens... jouis... tiens !...

Revenu de sa surprise, reconnaissant Mme de Sainte-Croix, Raymond rassemblant sa vigueur brusquement se dégagea ; changeant de position, il la saisit à son tour à bras-le-corps, et d’un seul coup, de ses forces réunies, il la retourna, la maintenant sous lui... Lentement... sans la lâcher, il se glissa entre ses cuisses... alors, libérant une de ses mains, il la porta sur la grotte en feu, toute mouillée, caressa, chatouilla un moment le bouton... puis, jugeant sans doute la chose à point, bien à point, il se saisit de son superbe membre qu’il pointa sur l’entrée. Au contact de la peau, Germaine se reprit. A son tour, elle agrippa Raymond, ses bras et ses mains l’enlaçant de toute leur vigueur, le collant contre elle, tandis qu’écartant largement les cuisses pour faire entrer le membre, aussitôt celui-ci enfoncé, elle enserra de toute la puissance de ses nerfs, au moyen de ses jambes et de ses cuisses, les cuisses et les jambes de Raymond...

Comme une possédée, elle activait par des mouvements de tout son corps, de tous ses membres, le va-et-vient du beau membre enfoncé en elle ; elle râlait, mordait les coussins à sa portée, pour ne pas mordre son beau baiseur...

Tous deux pareillement excités et énervés, ils ne tardèrent pas de jouir en même temps, et le cri échappé de ses lèvres, son aigu et rauque, allant en mourant, donna la mesure du paroxysme formidable de jouissance auquel elle avait atteint !...

Encore quelques instants... Raymond continua son charmant va-et-vient... Voyant que la belle baisée revenait à elle... qu’un sourire errait sur ses lèvres, que ses mouvements retrouvaient leur vigueur... brusquement, tout d’un coup... retirant son membre, il changea de position, en se dégageant des bras et des jambes qui l’enserraient, et, son visage entre les cuisses de Germaine, il écarta vivement les bords du conin, mettant bien à jour le clitoris long et raide : galamment il s’en empara ardemment, il téta... téta... Pour plus de commodité, sans quitter sa douce besogne, il modifia sa position, se plaçant complètement sur Germaine, qui, sur ses lèvres, sentit le frôlement de la verge toute humide, les lèvres s’entr’ouvrirent... la verge entra.

D’abord doucement... lentement... les bouches sucèrent, les langues léchèrent... puis, langues et bouches accentuèrent... activèrent... la première, Germaine, se mit à jouir... jouir... et sans arrêt... sans arrêt, très vite par instants... très lentement ensuite pour reprendre avec plus de force après. Raymond suça... suça...

Passant ses mains sous les fesses de sa belle amoureuse, Raymond les écarta, puis d’un doigt agile et expert, il caressa savamment le trou secret...

Sous cette caresse, Germaine agita les fesses... elle jouit plus fort...

Du conin au trou du derrière, était un véritable petit ruisselet gras... lubrifiant... Raymond caressait toujours entre les fesses, introduisant ses doigts dans le trou tout mouillé par ce qui coulait du conin.

Et Raymond continuait sa succion... Germaine avait eu déjà, par instants, des soubresauts de tous ses membres... elle gardait encore l’extrémité du beau membre entre ses lèvres, mais sans mouvement de la bouche ni de la langue.

Encore quelques soubresauts... et inlassablement, Raymond ne quittait pas l’endroit merveilleux... chatouillant, branlant, léchant ou suçant tout à la fois...

Germaine avait la tête vers le centre de la pièce et, naturellement, Raymond montrait son splendide derrière.




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