Extrait de Les Deux belles de nuit

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— Tiens, mon gros, baise cette bouche qui t’a si bien sucé, fous-la ; engueule-la ; branle-moi les tétons, donne-moi du plaisir.
 
— Tiens, mon gros, baise cette bouche qui t’a si bien sucé, fous-la ; engueule-la ; branle-moi les tétons, donne-moi du plaisir.
  
Au moment suprême, Carlo éprouva des sensations sublimes qu’il manifesta avec des sacres, des foutres, des Garces, des Gueuses, et en lâchant une bordée si nourrie, si pissante, que la bouche de Lizette ne put la contenir toute, elle coula tout le long de sa gorge comme dans un ruisseau. — Vois, cochon, comme tu m’as faite !...
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Au moment suprême, Carlo éprouva des sensations sublimes qu’il manifesta avec des sacres, des foutres, des Garces, des Gueuses, et en lâchant une bordée si nourrie, si pissante, que la bouche de Lizette ne put la contenir toute, elle coula tout le long de sa gorge comme dans un ruisseau.
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— Vois, cochon, comme tu m’as faite !...
  
 
Ils se mirent à table dans l’état où ils se trouvaient, c’est-à-dire dans le simple appareil, et disposés à continuer leurs saletés.
 
Ils se mirent à table dans l’état où ils se trouvaient, c’est-à-dire dans le simple appareil, et disposés à continuer leurs saletés.

Version actuelle en date du 7 janvier 2018 à 15:01

Extrait de / Excerpt from : Les Deux belles de nuit.


Ces deux charmantes coquines s’étaient concertées pour éreinter leur convive. Il faut, se dirent-elles, que demain ses couilles soient sèches et que son vit perde toute sa vigueur.

— Ah ! tu veux des Putains cochon ! et bien ! tu en auras !

Avant de se mettre à table, elles quittèrent chapeaux, gants et souliers, et déshabillèrent leur victime.

Lizette l’enlaça en collant sa bouche sur la sienne. Dans cette position, elle se trouva à cheval sur ce gros vit, raide dans toute sa longueur qu’elle pressait de ses cuisses et dont la tête sortait par derrière lui frôlant le cul.

Anninka se plaça à genoux de manière à prendre entre ses lèvres cette tête, rouge feu, qui se coiffait en se retirant et se décoiffait en s’avançant. Elle la reçut sur la langue, ferma la bouche, la suça, la lécha avec d’autant plus de plaisir que ses yeux jouissaient en même temps de la vue des belles fesses qui étaient devant elle et du cul qu’elle chatouillait avec ses deux pouces. Lorsque, par ses mouvements et ses soupirs, elle s’aperçut que Carlo allait décharger, Lizette l’enveloppa dans un tel frisson d’amour que sans son aide il n’aurait pu se tenir sur ses jambes. Il avoua que cette jolie saleté était une des meilleures friandises qu’il ait jamais goûtées.

Anninka ne quitta pas sa place, elle continuait ses coups de langue pour empêcher ce membre de se ramollir, car elle aussi, elle voulait admirer ce charmant tableau encore inconnu, pour bien jouir de la vue de son corps à cheval sur ce vit dont la tête se trouvait juste au-dessous de son con, disparaissant par intervalle dans la bouche de Lizette à genoux.

Ce groupe lascif, se reflétant admirablement dans la glace, devint encore plus lubrique lorsque Anninka, renversant sa tête en arrière, offrit ses lèvres aux baisers de son fouteur en cuisse.

— Tiens, mon gros, baise cette bouche qui t’a si bien sucé, fous-la ; engueule-la ; branle-moi les tétons, donne-moi du plaisir.

Au moment suprême, Carlo éprouva des sensations sublimes qu’il manifesta avec des sacres, des foutres, des Garces, des Gueuses, et en lâchant une bordée si nourrie, si pissante, que la bouche de Lizette ne put la contenir toute, elle coula tout le long de sa gorge comme dans un ruisseau.

— Vois, cochon, comme tu m’as faite !...

Ils se mirent à table dans l’état où ils se trouvaient, c’est-à-dire dans le simple appareil, et disposés à continuer leurs saletés.

Carlo, placé entre ces deux jolies Putains acharnées après ce vit qu’elles voulaient dessécher, et qu’elles branlaient sans discontinuer, était l’objet des éloges les plus libertins, les plus dépravés. C’était, en un mot, un débordement de vices poussé au dernier degré.

Les mains, les langues, les mots, les expressions, rien n’était négligé : tout allait son train.

A la fin du dîner, elles se mirent à tour de rôle, à cheval sur ses cuisses en s’enfonçant ce vit qui avait repris toute sa fermeté. C’est ainsi qu’elles voulurent boire dans la bouche l’une de l’autre pour s’exciter et se griser de baisers, de caresses lascives.

Enfin ne pouvant plus résister, ils s’élancèrent tous les trois sur le lit.



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