Extrait de Impressions d'une fille

De BiblioCuriosa

Extrait de / Excerpt from : Impressions d'une fille.


J’avais dû m’assoupir et dormir quelques instants, quand tout à coup, la porte s’ouvrit et Lucie fit son apparition sur le seuil.

— Tu dormais et tu devais faire un beau rêve... car tu souriais aux anges...

En effet, je fus quelques secondes à retrouver mes esprits. Alors je fus stupéfaite en constatant qu’elle était toujours en amazone, bottée, sanglée dans une espèce de cravate blanche et qui lui donnait un aspect masculin.

Sa cravache à la main, elle avait l’air d’une dompteuse.

— Mais je ne comprends plus ! lui dis-je. Quelle comédie veux-tu donc jouer ? Pour moi, je désirais follement en interpréter une autre et qui ne se jouait pas en tenue de cavalier.

— Ce n’est pas une comédie, c’est tout ce qu’il y a de plus sérieux. Malgré ta promesse de m’être fidèle, tu m’as trompée hier indignement avec cette Elvire et son amant Barfleur. L’homme, je m’en fiche, mais la femme, tu l’as aimée plus que moi. Et la preuve, je vais te la donner, fais voir le haut de ta cuisse droite tu as un beau suçon ! ! C’est elle qui te l’a fait ! Cette Elvire, cette chienne en rut, je la déteste.

— C’est faux, tu es jalouse et victime de ton imagination.

— Alors, prend ce miroir et regarde toi-même. Vois ta cuisse droite à la naissance des poils ! !

— Oui, je vois quelque chose de violacé, mais ce n’est pas un suçon ! !

— Si et cela mérite une punition et vous l’aurez toutes les deux. Pour toi, tu vas la subir aujourd’hui, tu es en mauvaise posture, tu es nue, je suis ta maîtresse et je veux t’en convaincre.

— Mais Lucie, tu deviens folle !

— Oui, folle de toi, tu ne te doutes pas que je t’aime à la folie. J’ai passé, hier, un après-midi atroce, je savais où tu étais, et avec qui.

— Alors, je ne suis plus libre d’aller chez qui me plaît et de plus, tu me fais espionner ! !

— Non, je n’en suis pas là, mais des amis communs m’ont renseignée. Bref, assez discuté, couche-toi sur le ventre et présente-moi tes fesses, je vais t’infliger une fessée, tu pourras crier, personne ne viendra, nous sommes seules ici et je suis la plus forte.

— Ah non, alors, pas de fessée, j’ai les fesses trop sensibles.

— Tu te rebelles, alors attrape cela. Et Lucie levant sa cravache cingle la cuisse une fois, deux fois, en disant : tiens ton suçon va disparaître. Flic flac, on le voit encore, flic flac, je recommence.

— Ah tu cries, tu m’insultes maintenant, tiens, flic flac, autant sur l’autre cuisse, comme cela il n’y aura pas de jaloux. Tiens maintenant tu sursautes, tu te retournes et te mets sur le ventre les fesses bien à l’air. J’aime mieux encore cela, je vais ainsi pouvoir me régaler, elles sont si dodues que je vais également les favoriser et les faire sauter aussi à la cravache. Flic flac, voilà pour la droite, flic flac, autant pour la gauche... Et maintenant, tu essayes, par un saut de carpe, d’échapper et de te retourner. Pas de ça, Lisette , je vais t’enjamber, m’asseoir sur ton dos à l’envers, mes jambes vont t’empêcher de te rebeller, j’ai maintenant tes belles fesses, bien en vue un peu zébrées peut-être, mais tu parais bien les encaisser.

J’aperçois aussi la jolie raie où est caché ton trou mignon.

Bien installée, je suis mieux que sur mon cheval, ta peau est plus douce, je continue donc, flic flac, fesse gauche, flic flac, fesse droite et un coup léger dans la vallée sur ton trou.

C’est bien, tu regimbes, je sens entre mes jambes ton corps qui me chauffe ma chatte et ma rosette, encore, crispe-toi, que je te sens bien...

Tu ne veux pas me faire ce plaisir, tu le feras quand même. Flic flac, encore un coup dans ta raie et celui-là plus fort... Encore un autre, mais cette fois, j’incline ma cravache, lèvres et bouton, tout va en recevoir...

— Holà, holà, que tu me fais mal... je te maudis, toi et les tiens, je me vengerai...

— Ah ! tu as compris, je sens tes reins qui me donnent des secousses et qui me font frémir. Continues, si tu peux, tu vas me faire jouir comme cela et je vais te pardonner... Oui, cela vient, la sensation augmente, je te serre les hanches avec mes cuisses. Dieu que c’est bon, j’y vais, je coule sur ton dos... Aaah, tu me fais mourir...

Maintenant, je voudrais bien te rendre le plaisir que tu m’as procuré. Fini la correction. Tiens je rentre mon doigt dans ta rosette et ma main va aller branler ton bouton, je vais dégrafer ma tunique et mes nichons te caresseront les fesses.

Je veux maintenant que tu prennes aussi ton plaisir.

Tiens, sens, je rentre deux doigts dans ton chat, et un deuxième dans ton cul chéri, ah que cette vue m’excite, je sens que je vais encore partir, et ton dos qui me brûle de plus en plus les lèvres et le bouton.

Mais jouis donc, sacré nom que te faut-il ? un homme, ton Stani ? je ne l’ai pas sous la main. Tiens une idée, j’ai mieux, après le petit bout de la cravache tu vas avoir le gros. Je regarde comme il va bien rentrer, j’écarte tes grandes lèvres avec deux doigts, puis les petites et le manche est rentré à moitié. Je vais donc branler cul et con, tu vas jouir des deux côtés et on peut manœuvrer en cadence, je rentre les doigts dans ton petit trou, et en même temps je sors le manche de la cravache, je retire les doigts et je pousse le manche... Je fais cela parfois quand je suis seule, et devant une glace, c’est divin et fou comme sensation...

Allons ma jolie, viens, je vais t’attendre, mais dépêche-toi, cela monte chez moi... Oh, je n’en puis plus de me retenir, j’y vais encore, quel plaisir... Ah, mon trésor que je regrette d’avoir été si méchante avec toi.



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