Extrait de Précoces Libertines

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Extrait de / Excerpt from : Précoces Libertines.


Lentement, Monsieur d’Orsi se lève de son fauteuil, s’en vient rejoindre sa nièce.

— Allons, oncle chéri, plus près...

Ce pauvre M. d’Orsi n’ose ; sa bouche effleure le front de Louise. Celle-ci, relevant brusquement la tête, lui présente ses lèvres avides d’un tout autre baiser et M. d’Orsi s’abandonne à ce geste câlin et amoureux, collant les siennes à ces lèvres gourmandes, sentant une petite langue rose frétiller, et qui finalement entre dans sa bouche. Sa tête est en feu ; Louise, qui s’en aperçoit, resserre son étreinte. Petit à petit, sa main glisse jusqu’au pantalon, à l’endroit où il accuse la proéminence...

Pauvre oncle... il se laisse faire, il s’abandonne... sans chercher à approfondir, conquis et heureux malgré lui...

Dégageant son étreinte, Louise sort le membre qu’elle caresse de ses deux mains, faisant remonter la peau sur le gland, puis le dégageant ; se penchant sur le bel instrument, elle l’effleure d’abord d’un baiser léger, sa langue s’arrête plus longtemps sur la membrane reliant le gland, endroit sensible à l’excès !... et Monsieur d’Orsi se laisse faire... béat... Bientôt, la bouche toute entière s’empare de l’outil dont la tête disparaît entre les lèvres... les doigts roses font des caresses légères sur les parties rebondies, remontant et descendant sur le corps de la verge...

Mais Monsieur d’Orsi commence à s’agiter, ses cuisses serrent la jolie tête, qui tète avidement le bijou... Tout à coup, il cherche à retirer son membre de cette bouche, sentant la jouissance arriver, mais Louise, qui comprend, par les tressaillements nerveux de l’oncle, ce qui se passe déjà, tète encore davantage, active ses caresses... et reçoit bientôt le long flot de sève que la verge éjacule, et qu’elle aspire goulûment, savourant longuement la douceur de la bienfaisante liqueur dans sa bouche et son gosier...

A regret, elle quitte l’instrument déjà ramolli... A son tour, elle voudrait bien jouir : tout est calme dans la maison, tout dort... Louise a tôt fait de se déshabiller complètement, s’étend sur le grand divan sombre sur lequel sa nudité semble encore plus merveilleuse, écarte les cuisses, présentent un véritable four en ébullition... Son oncle se précipite sur ce minet en chaleur, sa langue en pénètre l’intérieur, va et vient... en dépit de la rosée d’amour qui ne tarde pas à couler et vient humecter sa barbe... et Louise jouit... jouit...

— Ah ! mon chéri... bon... tiens... ah ! je t’aime !! Suce... suce... ne... ne... t’arrête... pas...

Et elle coule, fond... presque sans arrêt...

Brusquement, elle se dégage de cette bouche qui la suçait si bien ; avant que son oncle ne soit revenu à lui, elle se retrouve complètement sur le ventre, présente son derrière dont elle écarte les fesses, dégageant ainsi l’entrée de l’anus plus rose parmi les chairs roses. Monsieur d’Orsi, comprenant ce que veut sa si gentille nièce, et sa queue ayant retrouvé sa raideur, se met alors en devoir de l’investir de ce côté ; le gland est encore humide de tout à l’heure ; il entre, doucement, doucement... encore un petit effort... enfin, voici la verge, ayant franchi le dernier obstacle, enfoncée jusqu’aux parties qui s’en viennent frôler délicieusement la peau des fesses satinées.

Bien en forme, les fesses s’agitent, serrent, vont et viennent... on n’entend que des soupirs...

— Ah ! ah ! ah !...

Louise vient de sentir, projeté loin dans son corps, le flot de sperme chaud que la verge a lâché après un dernier soubressaut...



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