Extrait de Association de demi-vierges

De BiblioCuriosa

Extrait de / Excerpt from : Association de demi-vierges.


L’abbé Béron prenait Stéphanie par un bras, l’attirait vers un canapé, sur lequel il s’installait ; il l’étendait par dessus ses genoux, le cul nu sous ses yeux, entre les pans de la culotte, et il la fouettait à petits coups, égarant de temps en temps la main entre ses cuisses, vers son bouton.

Moi, je suçais le frère Hilaire, qui se renversait de plus en plus sur le dos, me découvrant tout son gros ventre, et je farfouillais dans ses poils, je reniflais sa forte odeur de bouc et je jouissais. Je t’assure, mon adorée, que ma conviction est bien qu’il n’y a nulle sensation comparable à celle-là, et que nos plaisirs entre amies sont bien pâles à côté.

L’abbé Tisse ne nous trompa pas sur la qualité du plaisir.

Si tu avais considéré de près ces grosses boules qui pendaient sous son machin, si tu avais contemplé ce machin qui se durcissait comme du fer, si tu avais admiré cette massue, que jamais je n’eusse cru possible d’entrer dans ma petite bouche, si tu avais examiné cette puissante assise de fesses se développant grandiosement à mesure qu’il se reculait sur son fauteuil, tu m’aurais imitée et tu te fusses enragée à tout dévorer de caresses.

Et cependant, il ne s’oubliait pas, il guettait le moment où le cul de Stéphanie rougissait sous les claques de l’abbé, où elle se trémoussait sur ses genoux en des mouvements convulsifs de chatte en chaleur, pour me saisir par une oreille et dire :

— Debout, colombinette, apporte la fente de ton cul, nous allons faire feu pour te récompenser et adoucir la raideur de ce joyeux sire en te caressant les fesses, comme la main de l’abbé caresse celles de ton amie. Ça y est-il ? Oui, découvre bien, écarte la chemisette, et les chairs bien dehors, et attention à la manœuvre, elle ne sera pas longue, tu as très bien travaillé de la bouche. Sens-tu bien le bout, dis ?

— Oui, oui, murmurais-je, il tient mes fesses ouvertes.

— Bon, très bon, deux calottes et ça marchera.

Deux calottes ! Ah beu oui ! Il prenait dans ses doigts le machin appuyé contre le trou de mon cul et, tout serré entre mes pauvres fesses, il le frottait rapidement et vigoureusement et, tout à coup, je chancelais sur mes jambes, un jet bouillant grimpait jusqu’à mes reins, je vacillais de droite et de gauche sous les mouvements du machin qu’il avait lâché pour me tenir les fesses à pleines mains ; quand le jus s’arrêtait de couler, il m’attirait sur ses cuisses, promenait ses gros doigts sur mon ventre, les glissait entre mes jambes et disait, dans un éclat de rire :

— Tu as joui, tu as pissé aussi, répète-le moi.

— J’ai joui, j’ai pissé aussi.

— Et tu aimes bien la pine du frère Hilaire ?

— Et j’aime bien la pine du frère Hilaire.

Oh, nos progrès marchaient à ravir au couvent des Bleuets !

L’abbé Béron apportait alors dans ses bras Stéphanie, qu’il plaçait à cheval sur les genoux du frère Hilaire. Elle était comme inconsciente, tant il l’avait surexcitée par ses fessées. On approchait une chaise, le dossier tourné vers elle, comme elle tournait le dos au frère, il lui dénouait le pantalon et lui retirait, sans qu’elle quittât ses genoux ; il lui épinglait la chemise sur les épaules, la courbait sur la chaise et, avec son machin, il la frappait sur le cul, les reins, la soulevant et la mettant entre ses cuisses ; elle envoyait les bras par derrière, se tordait dans le plaisir ; il lui chatouillait le bouton, la replaçait contre le dossier de la chaise qu’elle avait abandonné, et peu à peu elle se dressait debout, lui allongeait des coups de culs contre le ventre, grimpait sur son fauteuil et lui appliquait les fesses sur le visage ; il la secouait de ses grands coups de langue, elle appuyait le pied sur son machin et il l'attrapait par les jambes ; entre ses mollets, sur les bas, on voyait courir le gros machin, qui gagnait les genoux et, tout à coup, elle s’accroupissait, presque malgré elle, pour être toute éclaboussée de jus, plus encore que moi, car, sur ses bas, ses jambes, sa chemise, il en coulait des gouttes.



Texte intégral avec des photographies d'époque en format PDF en vente chez Eros-Thanatos